C'est en cet endroit que le jeune Guillaume Tell s'entraînait avant de percer la pomme sur la tête de son fils
pendant une année je n'ai photographié que çà, je voulais en faire un livre mais ma fille a trouvé cela monotone.. ils ont ici la couleur d'automne
Des sentinelles qui veillent au grain ?
Je regrette les anciennes meules de foin ou de paille du temps des impressionnistes... le dos des moissonneurs, eux, ne regrettent pas...
... mais finalement pourquoi une meule ronde est-elle plus esthétique qu'une meule rectangulaire... est-ce uniquement une question de goût ? pas assurément... c'est, peut-être, un problème d'ombre : sur une meule ronde, les ombres glissent, s'installent toutrondement en douceur , ... ici, c'est brutal, est, ouest, nord sud, pas de choix pour les ombres...
@Francis : oui c'est ce qui se fait au débotté ....
@Céladon ; Guillaume Tell aurait été un homme de paille ? ;o)
@Broutilleb : c'était une bonne idée. Pas facile à photographier ces tas de paille.
@Lannnic : on sent le retour d'un internaute en pleine forme ! ;o))
@Gi : c'est un autre paysage une autre époque, de meilleures conditions de travail. Me souviens des battages, montée du paillé ...c'était du costaud.
Monet nous a embelli tout ça en jouant avec la lumière. Est-ce que le céréalier de maintenant prend le temps de suivre les jeux de lumière sur ses bottes ... de paille ?