Merci pour cet article qui remet en lumière une technique ancestrale à la fois ingénieuse et durable. Les trognes sont bien plus que de simples arbres taillés : elles témoignent d’un lien fort entre l’homme et la nature, alliant gestion des ressources et préservation de la biodiversité. Une pratique à redécouvrir et à valoriser !

@Celadon : le jeu de l'absence de lumière, l'imagination au pouvoir.

la tronche du têtard il fait une drôle de trogne avec son regard en coin n'a bonne mine .

@Nicole : le mot "trogne" était plus utilisé que maintenant.<br /> <br /> @Francis : ils ont la peau dure ces arbres. Ce que l'on a récemment découvert, c'est qu'ils abritent toute une faune pendant l'hiver.<br /> <br /> @Lannic : et ils n'ont pas encore rencontrés le bûcheron ...

Vu la tête qu'il fait, il ne doit pas aimer l'hiver.<br /> <br /> Et il n'est pas le seul !

Je pensais que seuls les Saules bénéficiaient de ces tailles particulièrement sévères afin de fournir, si besoin, du feuillage à brouter. Puis j'ai constaté et appris que d'autres essences, Frêne, Chêne... pouvaient résister à de tels élagages, moins fréquents, pour fournir du bois de chauffage.<br /> <br /> On a tout de même l'impression de lire la souffrance sur des têtes torturées...

Ces arbres ont de sacrées trognes<br /> <br /> Quand j étais móme et boudais, on me disait : " Arrête dont de faire la trogne "