@Francis : formes et couleurs pleines de sensualité effectivement. Un paysage qui nous "parle". Un plaisir à photographier avec un beau soleil d'automne.<br />
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@Nicole@Francis : oui, "ne jetez pas la pierre à la femme adultère" qu'il chantait le Georges. Quand on voit la taille de la pierre ... !<br />
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Oui, ce sont des châgnes.<br />
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Gi : un petit bout de Massif Armoricain et peut-être quelques druides cachés dans les chaos granitiques.
Des photos qui se caressent, humides et moussues, lisses et branchues, chaudes et obscures. Des endroits où se cacher, se surprendre, se sentir géant insignifiant, minuscule puissant, jouer, aimer. Si enfant je n'avais pas eu mon ruisseau, j'aurais volontiers élu domicile espiègle dans un tel château !
Beaux endroits qui en imposent devant lesquels on se sent "petit". Ces deux arbres majestueux et symétriques (des chênes ?) poussés dans la roche lui donnent une allure de gigantesque gastéropode aux cornes velues. "Ne jetez pas la pierre à la femme adultère..." ;-). Par chez nous, à UCHON au sud du Morvan, on trouve "la pierre que groeule"... groeuler = crouler = branler probablement.<br />
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J'aime beaucoup cette série pour son sujet certes, mais aussi pour ses qualités graphiques de lumières de textures, de formes.