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Vie du paysage
18 mai 2016

Une apparition printanière

 

ville ecureuil feuillages 2 160516

 

Commentaires
Y
@Gi @Daniel @Bernard : prise de vue à travers du feuillage ce qui donne un peu d'ambiance. Et le bestiau a une attitude benoite et apaisante.<br /> <br /> @Nathalie : c'est le cas, il était en plein brunch avec des graines nombreuses dans les arbres en ce moment, avant de faire sa petite pause digestive.<br /> <br /> @Francis : on dirait bien un monsieur écureuil. Mais bon, parfois dans les bois .... ;o))<br /> <br /> Quant à savoir si c'est le même, difficile à savoir. Ils sont au minimum 3 à vivre dans le secteur.<br /> <br /> @Nicole : le retour de Guerriot ! Agréable ce texte de contemplation de la vie animale anthropisée.
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G
"Sapin écureuil" ou "écureuil sapin" ? <br /> <br /> et douceur de la photo
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D
Joli ce rouquin !
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T
Il est superbe.<br /> <br /> Bonne journée,<br /> <br /> Bernard
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N
Joli clin d'oeil Yannik, comme une p'tite musique habile grignotant sous un vert feuillage les fruits gratuits des jardins de la Vie !
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F
Question détail anatomique, aujourd'hui, c'est la queue ! Ton copain la porte à la mode de la branche d'if ou de sapin, la raie au milieu. Sais-tu un peu qui il est, mâle ou femelle, jeune ou âgé, est-ce le même que tu photographies régulièrement ???<br /> <br /> Les mots et les phrases de Louis Pergaud se savourent !
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A
"Guerriot l’écureuil<br /> <br /> Il avait passé la belle saison dans sa maison de campagne, une petite boule de<br /> <br /> mousse reconstruite chaque printemps, un pavillon vert suspendu à une fourche<br /> <br /> de chêne…<br /> <br /> Il s’était laissé aller joyeux à vivre seul, en gaieté et sans souci sous le soleil,<br /> <br /> mangeant le jour les fruits de la forêt, de ceux-là qui ne durent qu’un temps,<br /> <br /> s’aventurant parfois dans les prairies frontières pour s’empiffrer de cerises qui<br /> <br /> ne se conservent point, et quelquefois aussi, mais rarement, sanguinaire,<br /> <br /> saignant dans leurs nids ou sur les branches, où il les saisissait à l’improviste, les<br /> <br /> petits oiseaux.<br /> <br /> Le plus souvent, content du jour et de la nuit, il sautait de banche en branche,<br /> <br /> tout son corps roux au vent, giclant éperdument, comme une large étincelle de<br /> <br /> feu, au moindre choc qui émouvait l’arbre sur lequel il se trouvait…<br /> <br /> Il mangeait là où il se trouvait, le plus souvent tout de même au même endroit<br /> <br /> sous les hauts sapins, où il retrouvait les joyeux compagnons..."<br /> <br /> Extrait de l'oeuvre de Louis Pergaud ( De Goupil à Margot )
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