@Marco : réflexion et travail d'aménagements en "silos" -> chacun ne voit que son intérêt du moment.<br /> Bizarre cette société qui a tous les moyens de faire des prévisions sur les conséquences des actes et qui pourtant se presse pour un profit maximum et immédiat en se masquant les répercussions néfastes. Peur de la mort ?

L'Homme a toujours scié la branche sur laquelle il est assis<br /> <br /> Au delà des problèmes sur la biodiversité que cela a engendré (le mal est fait). Cette manière d'agir n'est pas faite pour arranger les choses. Les drains agricoles associé à ce bétonnage sauvage sont, à mon avis, les causes des spectaculaires mais néanmoins meurtrières des récentes grandes inondations

Le maire veut que sa commune survive -> l'école ne doit pas fermer -> il faut des enfants, donc de jeunes couples qui viennent s'installer -> offrir des facilités de logement -> lotissements* et routes pour aller au boulot. Ce que deviendront ces zones dans 30 ans ..... ?<br /> Et puis, comme tu l'écris, il y a des communes loin de toute activité industrielle ou commerciale ....<br /> <br /> * très très peu de réhabilitation des bâtiments existants et abandonnés pour faire du logement dans les communes rurales, on préfère (ou on n'a pas le choix financier) lancer des programmes de lotissements.

Bien sûr, quelques hectares par-ci par-là ne peuvent pas assurer la survie de n'importe quelle espèce.<br /> A contrario, d'autres départements voient l'élevage reculer lentement sans que l'urbanisation ni les cultures céréalières ne s'emparent du terrain. On peut faire des dizaines de km sans croiser âme qui vive. Personnellement j'aime bien (et même plus...), mais je crois que les maires de ces communes préfèreraient quelques lotissements. Que faire ?

@Gi : grignotage qui va nous coûter très cher !<br /> <br /> @Valérie : c'est joli vu d'en-haut bien que ce soit du terrain passé au bulldozer avant construction. J'ai d'autres photos avec des haies qui sont sympas aussi.<br /> <br /> @Alain : oui, mais ça ne resssemble plus qu'à des réserves, privées de continuité ! C'est mieux que rien mais ça ne pèse pas lourd face à la spéculation sur les terrains à bâtir.

L'homme est un rongeur qui grignote la terre. Ta seconde photo le montre bien : on peut se demander pourquoi il a, pour l'instant, arrêté son grignotage dans ce champ... ce n'est pas pour longtemps, il y a sûrement un plan d'occupation des sols qui le prouve quelque part...<br /> Comme si on n'avait plus besoin de cultures !

Vaste sujet...<br /> j'aime bien sur ta dernière image,le patchwork diversifié qu'offrent ces terres.

Eh oui...<br /> D'où l'importance, encore plus grande, de nos Conservatoires (littoral ou régions).<br /> Espérons que la problématique des finances publiques ne les privera pas de leurs moyens d'intervention.